Amarenak…

Notre histoire

Il y a plusieurs années, moi, Oihane Pardo, j’ai hérité de ma mère l’ancien kaiku (une veste traditionnelle basque) de ma grand-mère. Longtemps après, ce kaiku est devenu mon pardessus préféré dans les différentes villes et pays où j’ai vécu. Il était le lien avec ma maison, ma famille et ma culture. En portant cette veste kaiku, j’ai découvert la capacité de la mode et du design à raconter des histoires, à transmettre des valeurs et à préserver une culture.

Un jour, ce vieux kaiku que j’avais tant aimé a rendu l’âme. Quand j’ai voulu m’en acheter un autre, je me suis rendu compte que ce vêtement basque était en danger d’extinction. On n’en vendait presque plus, et ceux qu’on trouvait n’avaient plus rien à voir avec cet élégant kaiku de ma grand-mère qui nous allait si bien.

« Sois le changement que tu veux voir dans le monde. »

— Ghandi —

Alors un jour, j’ai décidé de tout quitter, ma vie et mon travail d’architecte à Shanghai, pour revenir à Saint-Sébastien, ma ville natale, et d’apporter mon petit grain de sable au monde en créant Amarenak.

Après une campagne de crowdfunding, j’ai commencé à dessiner et à confectionner les premières vestes kaiku remises au goût du jour en respectant trois valeurs essentielles : tissus naturels , km0 et unités limitées.

Aujourd’hui encore, le kaiku demeure le signe d’identité de l’entreprise et celui qui nous a permis de toucher en 2 ans des personnes de plus de 15 pays de 3 continents différents.

Local
et universel

Ainsi, depuis septembre 2016, nous travaillons à Amarenak pour rescaper de l’oubli le kaiku et d’autres vêtements et objets traditionnels pour leur donner une nouvelle vie à travers l’innovation et le design.

Nous ne travaillons pas par saisons.
Nous ne croyons pas aux tendances passagères.
Nous ne faisons pas seulement de la mode.

Tradition
et modernité

Nous combinons modernité et tradition, science et art, patrimoine et innovation. Nous travaillons en collaboration avec des musées, des historiens, des entreprises, des institutions et des fondations, pour dénicher des pièces qui cachent une belle histoire. Grâce au design et à l’aide d’artisans, tisseurs, tailleurs, couturières et à nos ateliers locaux , nous créons et confectionnons de nouvelles pièces qui continueront à raconter cette histoire. C’est pour cela que j’aime à dire que nous formons une.

Communauté
Amarenak

Depuis octobre 2017, ce projet se développe aussi dans la communauté Kutxa Kultur Enea, où nous travaillons et collaborons avec d’autres entrepreneurs et entrepreneuses enthousiastes du secteur culturel de Guipúzcoa.